Saint Malô n'est pas le Finistère, mais quand on y passe, on veut s'y arrêter, puis y revenir. La pluie n'est pas la même à St Malô. Elle nous charme et la lumière y est intense. J'aime St Malô l'hiver, je me souviens d'une chambre dans un petit hôtel où il faisait bon se faire bercer par un rayon timide de soleil qui passait entre les rideaux et les volets pour réveiller 2 corps.
Les couleurs sont tellement saturées qu'on pourrait croire que c'est un décor de théâtre pour une pièce contant la vie de prisonniers rêvant de s'évader...